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1. Opposez une (subtile) résistance
Résignez-vous à assumer les engagements pris jusqu’ici, mais n’acceptez pas de rendre des faveurs supplémentaires tant que vous n’êtes pas arrivé(e) au bout de votre liste de priorités. Si un collègue (ou un supérieur) tente de vous refiler une tâche en plus, refusez poliment et proposez-lui une solution de rechange : « Je suis désolé(e), mais je ne vais pas pouvoir vous aider. Vous pouvez peut-être demander à Jean ou Karen ? » ou « Nous sommes tous débordés en ce moment. Peut-être faudrait-il envisager de faire appel à du personnel intérimaire ? ».
2. Demandez-vous comment utiliser votre serviabilité à votre avantage
Il peut s’avérer positif d’aider vos collègues, mais ne vous sentez pas obligé(e) de le faire uniquement pour accroître votre popularité au bureau. Faites preuve de discernement : les tâches supplémentaires dont vous acceptez de vous occuper doivent compléter ou améliorer votre propre charge de travail. Si vous tenez absolument à faire bonne impression, privilégiez la qualité à la quantité en optant pour des projets urgents ou importants.
3. Dire non : ne reléguez pas votre vie privée au second plan
Si vous n’avez plus le temps de prendre une pause-café et encore moins d’aller déjeuner, et si vous devez régulièrement faire des heures supplémentaires pour venir à bout de vos tâches, c’est le moment de ralentir la cadence. Rappelez-vous qu’il faut travailler pour vivre et non l’inverse. Les longues journées de travail qui ne laissent pas de place aux loisirs dans votre emploi du temps ne sont pas seulement source de stress, elles peuvent vous conduire au burn-out. Dites-vous qu’il n’y a aucun mal à venir en aide à vos collègues tant qu’ils n’en abusent pas. Rien ne vous oblige pour autant à dire ‘oui’ à tout : pensez-y la prochaine fois que l’on vous demande une faveur. Cet article a été initialement publié sur le blog Work Life de Robert Half Australie.