Près de deux tiers des salariés (64 %) estiment qu'il sera plus difficile d’obtenir une augmentation en 2025 qu’en 2024.
Cette perception est plus marquée dans les petites entreprises : 69 % des salariés d’entreprises de 50 à 250 employés partagent ce sentiment, contre 59 % des salariés dans des entreprises de plus de 500 employés.
Les jeunes générations sont également plus prudentes : 69 % des membres de la Génération Z et 68 % des Millennials pensent que les augmentations seront plus difficiles à obtenir, contre 57 % des plus de 60 ans et 60 % des 44-59 ans.
Le coût de la vie reste le principal critère invoqué pour demander une augmentation, cité par 36 % des répondants, quelle que soit leur tranche d'âge. Cela reflète une inquiétude persistante concernant le pouvoir d'achat, qui ne semble pas encore avoir compensé les effets de l’inflation.
2e critère : L’acquisition de nouvelles compétences ou qualifications (29 % des répondants).
3e critère : La gestion de nouveaux projets ou une charge de travail accrue (25 %).